Dans le podcast Président-iel, femmes, LGBTQIA+ : les candidats répondent, dévoilé ce 21 mars, Eric Zemmour s’est confié sur les questions de genre et des préférences sexuelles qu’il s’est posées quand il était plus jeune.
« Je sais bien que pour tous les enfants et pour tous les adolescents, je dis bien pour tous, les questions se posent sur l’identité sexuelle« . Tous, même Éric Zemmour. Invité au micro du podcast » rel= »nofollow »>Président-iel, femmes, LGBTQIA+ : les candidats répondent, ce 21 mars, le candidat à la présidentielle a partagé ses idées et son programme sur la lutte contre les discriminations et la politique de l’égalité. Opposé à la GPA (gestation pour autrui, ndlr) sans père, il est également contre les bloqueurs de puberté pour les mineurs. Adversaires des groupes LGBTQIA+ qui iraient « endoctriner » les enfants dans les écoles, l’ancien journaliste du Figaro a déploré « un phénomène de mode » et la propagation d’une « idéologie ».
Si la journaliste lui rappelle que « les bloqueurs de puberté » son réversibles pour les mineurs qui en prendraient, Éric Zemmour n’en démord pas. Le candidat de La Reconquête a ainsi commencé par rappeler qu’il n’a pas « 3000 ans » et qu’il se souvient de son enfance et de son adolescence. Des périodes au cours desquelles il « sait bien » que la question de l’identité sexuelle se pose. « Qui suis-je ? Un garçon ? Une fille ? Un hétéro ou un homosexuel ? Pour moi aussi ».
>> PHOTOS – Éric Zemmour, Valérie Pécresse… Avec qui les candidats à la présidentielle sont-ils en couple ?
Eric Zemmour et « les stars androgynes à la David Bowie »
Quand la journaliste lui demande si – lui aussi – s’est posé ces mêmes questions, le compagnon de Sarah Knafo lance sans détour : « Moi aussi, évidemment. À l’adolescence, évidemment ». Avant de poursuivre : « Donc, c’est normal, il n’y a rien de… En plus, moi je viens d’une génération qui découvrait tout cela : les stars androgynes à la David Bowie. Vous savez, je ne veux pas vous vexer, mais vous n’avez rien inventé ».
Assurant avoir « très bien connu tout ça », le père de Clarisse, Hugo et Thibault a déclaré que s’il est « normal de se poser des questions à l’adolescence », et qu’il se « moque complètement de la sexualité des gens ». « Ça m’indiffère, ils font ce qu’ils veulent ». Toutefois, il a assené : « Ce que je ne veux pas, c’est que l’on m’impose une image normative de la société qui remplace l’image normative donnée par le modèle majoritaire hétérosexuel ». « C’est mon seul combat, il est idéologique. Il n’a aucune influence sur la vie des gens ». Son but : « ne pas finir avec une société déstructurée ».
Crédits photos : Denis Guignebourg / Bestimage
Autour de
Source: Lire L’Article Complet